Au Kenya, pour de nombreux jeunes, intégrer l’orchestre Ghetto Classics représente une porte de sortie, sur fond de violence, de drogue et de pauvreté. Une ode à l’espoir pleine d’émotion et de poésie. L’orchestre Ghetto Classics égaie au quotidien les rues de l’immense et dangereux bidonville de Korogocho, en périphérie de Nairobi, la capitale kényane. Initialement composé de quatorze enfants, il rassemble aujourd’hui plus de quatre-vingts musiciens qui ont la chance de pouvoir se produire à l’étranger.